La réponse est oui.
Cela semble évident et pourtant, il peut y avoir des demandes pour envoyer un soin à un mari jaloux, à un ado en crise ou à une personne malade, sans qu’il le sache, « parce que sinon, il ne serait pas d’accord ».
Même si ces demandes sont en toute bienveillance, je me dois de refuser car je ne peux aller contre le libre-arbitre d’une personne !
Pour les jeunes enfants, les animaux ou les personnes qui ne peuvent répondre (coma par exemple), je demande la permission à l’âme avant. En principe la demande est toujours bien accueillie. Il se peut que l’âme refuse, dans ce cas, j’explique à la personne que je ne peux pas et que je dois respecter l’être.
Ce n’est pas non plus utile de forcer son compagnon sa compagne ou son enfant à accepter le soin. Même en m’appliquant à faire ce soin, Il y a de forte chance pour qu'il agisse moins bien, voir pas du tout, puisque la personne sera dans le refus de le recevoir. Vous entendrez un "je te l'avais dit que ça ne marcherait pas"
« On peut forcer quelqu'un à faire quelque chose, on ne peut pas le forcer à y trouver son bonheur » (Jacques Attali)
Pour qu'un soin agisse pleinement, il faut que la personne, même réticente ou en attente de voir ce qu’il va se passer, soit dans l’acceptation de recevoir.
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